Si tu disais...

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693 poèmes
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Nous sommes reliées ici et maintenant
Reconnaissance pour nos frères qui nous aident
Gratitude
Allongées sur ces pierres, nous chantons l’hiver. Nous sommes matière et lumière, poussière et éther.
Ils ont le droit de trembler
Ils ont même le droit d’être terrifiés à l’idée qu’Elles leur plantent
Une flèche en plein cœur
Unir
Soldat
Sur le macadam froid de Marioupol j’ai marché toute la nuit
Autour de moi les grandes tours noires dégueulent de lumière
Des heures et des heures que je fuis
Ma vie tient dans un sac en plastique vert
M’sieur le soldat, on est pareil, laisse-moi passer
Laisse-moi passer, laisse-moi passer
Je ne suis qu’une vieille femme
Ta main tremble comme la mienne
M’sieur le soldat, on est pareil, laisse-moi passer
Laisse-moi passer, laisse-moi passer
Le jour se lève sur nos âmes embrouillées
Le vent soulève encore les cris étouffés
Je ne fais que pleurer
Pleurer, pleurer
M’sieur le soldat, on est pareil
Laisse-moi passer, laisse-moi passer
Hé, M’sieur le soldat écoute ma prière pour implorer ta pitié
Un cœur qui bat
Qui bat, qui bat
Ma dernière prière avant…
Pan !
Comment cela un mouvement de panique dans les loges ?
Ecoutez, si le cœur vous en dit, vous pouvez aller les rassurer et leur dire que tout va bien se passer.
Etes-vous sûres qu’il ne reste aucun enfant ici ? C’est important.
Les fées : « Oui, nous avons vérifié partout, même dans les malles. Tous les enfants sont en sécurité, ils vont bien, ils sont au chaud dans leur lit et ils dorment. »
Coulisses
« Eh Cocotte, toi tu sais ce qui a été modifié hein ?
-Oui.
-C’est quoi ?
-Trois fois rien : A chaque tête coupée, cent nouvelles apparaissent. »
Vont bien finir par comprendre ces teubés qu’une et une font troie.
« Cette enfant ne parle pas?
-Si. Mais personne n’écoute.
-Que dit-elle alors?
-Le monde n’entend pas que les règles ont été modifiées. »
La débâcle
Assis sur le bord du monde comme au spectacle.
Je regarde cette lune rousse à attendre un miracle.
Mon pardon s’efface au fil du vent.
Je connais par coeur ta peur dans l’ici-bas qui glisse sur l’obstacle.
Le public attend : une enfant observe encore les illustrations.
« Mais d’où sort cette enfant ? demande une lady
-Je n’en sais rien, répond un gentleman. »
Planches illustratives
Artémis
« Le corps, unique lieu de rêve et de raison, asile du désir, de l’image et des sons. » Anna de Noailles
« LADIES AND GENTLEMEN » [voix masculine, forte]
[roulement de tambour, très long] …
« LA FEMME CENT TETES! » [voix masculine,encore plus forte]
[applaudissements vifs] …
25 octobre 2022
Elle se reposait près du feu
Sans crier gare, une force de la nature
Arriva! Et elle versa de l’eau
Elle comprit alors qu’elle devait partir.
Mourir
« Aujourd’hui, l’Existence est sortie du jeu
Etre ou ne pas être ce corps sans tête?
Telle est la question. »
Love
« Comprends-tu que tu as réussi ce tour de magie?
– Oui
– Sais-tu que certains ne t’ont même pas vu bouger un doigt?
– Oui
– Têtue bien reposée?
…
– T’es-tu bien reposée?
– Oui. »
Maman tu es géniale,
Je t’emmène dans mon vaisseau spatial,
Maman tu es rusée,
Je t’emmène dans ma fusée .
N’oublie pas les bonbons
Pour ton petit garçon,
N’oublie pas ce poême
Il te dit « je t’aime « .
Louis N.
Au bord du vide
Rien n’est vertical
Comme l’aiguille d’une montre
Le cristal creuse
Près de la montagne en ébullition
Enfin l’oiseau aboie
Il neige
Il neige des nuages de lait
Lentement l’été se résigne
De l’un vers l’autre
La Terre s’éloigne du ciel
Les éclipses sur les figures Inversent les courants d’air
C’est une grande mélancolie
Qui chasse le noir
Dans les grains de sable
Il me reste un beau voyage à faire
À l’envers du monde
Je te savais de l’autre coté
Accro à mes pensées
isolés, barricadés, personne ne sait
sur une nuage, dans une cachette,
du ciel, des paillettes,
allongés, peau à peau, nos corps imbriqués,
tes baisers subtils posés sur mon corps
on se retrouvera, on recommencera
Mes petits Loulous,
Mon voyage est terminé
J’ai fini mon compte de faits.
Quand je pense à ces années
Vos dents ont dû bien pousser!
Mon sac est vidé
Là, je vais me reposer.
Mais après, si vous le voulez
Je vous montrerai mes trésors!
Je vous embrasse
Kathy
Re-member
j’écris pour tous les arbres
je crie, je hurle, je crache pour que les fées soient reconnues
Under-stood
j’écris pour tous les arbres
je crie, je hurle, je crache pour que les fées soient reconnues
Sure
j’écris pour tous les arbres
je crie, je hurle, je crache pour que les fées soient reconnues
En-glaise.
Maintenant tais-toi
Regarde-moi et écoute-moi
Plus jamais tu ne détruiras
La magie que je porte en moi
Et si, de mauvais augure
Tu cherchais encore à me nuire
Sache-le: tu seras mis hors d’état de nuire.
La Paix!
As-tu vu, toi aussi
qu’au-dessus de la cheminée
ils ont arraché la tête de Mélusine?
Château de Charmes
… « En cherchant j’ai trouvé
Quarante ans j’ai pioché
Pour faire jaillir de terre ce palais de fées
Pour mon idée, mon corps a tout bravé
Le temps, la critique, les années. » …
Joseph Ferdinand Cheval
ils l’ont détournée
ils l’ont retournée.
Je te regarde et je te voix
Je sais que tu es Shakti
Svastika
Une foi,
Dans la crypte j’ai entendu:
« Tu peux relever la tête mon enfant ».
Supercalifragilisticexpialidocious!
Le mouvement est une spirale mais ça avance.
Les anges n’existent pas
Les anges n’existent pas
Qui les a vus
Personne
Et Jésus
Qui l’a aidé sur la croix
Personne
Et qui m’aimera
Jamais personne
Les jours passent et je me tais
C’est la vie qui veut ça
La vie qui m’emmène trop loin
J’essaye de comprendre demain
Je tombe toujours à genoux
Devant cette vie qui me mettra toujours
Des bâtons dans les roues
Bientôt viendra la fin de ce monde
Et moi j’en ai rien à faire
Si vous saviez comment on est
Quand le cœur ne fait que saigner
Des rivières d’amour
Si seulement quelqu’un savait
Quoi que je fasse quoi qu’il arrive
Personne ne me tiendra la main
A quoi bon compter les secondes
Il est trop tard toujours trop tard
Les étoiles sont toujours toutes seules
Pour regarder tourner les planètes
Elles sont si belles et si brillantes
Mais toujours seules
Pour les anges ça doit être pareil
Mais tout le monde sait
Que les anges n’existent pas
Qui connaît le visage d’un ange
Personne je crois
Personne
Bien sûr qu’elle ne veut plus danser.
Elle a dansé
Il l’a décapitée.
Dieu qu’il faut être con.
Les anges, allez chercher sa tête
et déposez-la avec son corps
Merci
Sépulture
Elle ne veut plus danser
Je vois la nuit
En toi
Dans tes yeux débordent
Des reflets d’écume
À qui dire je t’aime
Il n’y aura peut-être rien
Demain
Mais
Essaye encore
Cherche un morceau de soleil
Grisélidis Réal une femme dont je tombe un peu plus amoureuse, au fur et à mesure des pages.
Voilà l’effet qu’elle me fait, comme une sation de métro qui rassure, après trois heures du matin.
Un bouquet de violettes qui ne fane jamais, l’empreinte de son rouge à lèvres qui hurle au coin du coeur
et m’aide à recouvrer la vue. C’est toute la beauté d’un feu gitan qui ne peut mourir, même si les uns et les autres,
essaient en vain de la lapider. Une tempête de sable un in excelsis deo hurlé dans le brouillard.
Nella
Journal d’une femme hybride
J’ai hâte que le printemps, revienne pour m’embrasser dans le cou et me faire danser,
sur la pointe des pieds et tresser mes cheveux, de ces voeux d’organdi,qui sculptent les cicatrices aimées.
D’un soleil orageux, telle une prière tissée à voix basse, dans le ventre du monde.
Cette neige rose évanouie, dans les poches d’une veste trop petite, trop chaude.
Elle qui garde jalousement, précieusement ces confettis de mots doux, qui sucrent le quotidien.
Pour dessiner un clair de lune, sur les paupières, un baiser argentique qui ne s’oublie pas.
Une hallucination qui s’efface trop vite, des cerises qui épousent les seins en corolle,
collier pour attacher, le coeur et l’âme. Ces témoins privilégiés d’une noce, entre le seigneur crépuscule
et sa majesté l’aurore. Un infini qui rosit les joues, pour les sacrer princesses, d’un autre monde.
J’aime l’argile qui sourit, sur mes lèvres imparfaites qui hurlent, pour ne pas cesser de peindre,
la réalité d’un tout autre univers, sans lequel je ne pourrais survivre, dans ce monde qui boite de vivre.
J’ai ce besoin constant, de rire aux éclats pour maquiller parfois, comme un camion volé les petits tracas,
qui pleurent sous ma chemise de nuit. Écrire c’est un peu ces temps-ci rouler, de jour comme de nuit sans permis.
Nella
J’aime ce printemps éternel,
qui se couche sous ce lin,
alangui en ta poitrine.
Qui n’a nul besoin de prononcer,
un seul mot un seul pas.
Pour que je te sente,
vivre respirer en moi.
Lorsque la lune à nouveau,
fait l’amour avec la mer.
C’est toujours comme,
une première fois.
L’asphalte réécrit l’histoire,
tu es cette île l’unique.
Celle où j’aime revenir,
pour me raconter un goût,
de tes initiales jusqu’à l’oubli,
qui cogne comme un baiser.
Nella
Avec toi
J’ai cette tranquilité,
au bout des doigts.
Cette sensation de marcher,
pieds nus dans le sable.
Je retrouve un peu,
cet enfant perdu que j’étais.
Un retour aux souvenirs,
le parfum des mûres écrasées.
L’impression de tresser,
mon coeur dans l’osier.
Nella
15 septembre
15 octobre
15 novembre
15 décembre
15 janvier
15 février
Comment allons-nous les « suspendus »?
Moi, j’ai cramé la corde. Et ça va.
Lacrime d’oro
Mes marées sont désordonnées,
tout comme ces chansons,
qui s’oublient lorsque la neige,
revient frapper au printemps.
Elles lèchent un bout de soir hypnotique.
Mes songes haïssent ces larmes salées,
ces marguerites au ciel peureux,
blotti tout au fond des yeux,
avec moins de trois sous en poche.
Qui finissent sur le trottoir éclaboussées,
par ces barbes bleues sans coeur.
La vieille photo d’un amour insulaire,
s’est fait la malle joue les feuilles mortes,
dans les décombres de cette malle aux trésors.
Ce qui me manque la sensation,
d’avoir un chez-moi un toit assez chaud.
Pour ne plus composer de faux numéros,
nourrir d’un peu de charbon tendre,
mes derniers pétales en manque d’oxygène.
Nella
Entendre
pour la première fois
cette mélodie
c’est m’endormir
sur ton coeur
un crépuscule
au bord de l’eau
me souvenir
de l’odeur
de ton âme
Nella
c’est m’endormir
sur ton coeur
au bord de l’eau
A girl from Neptune…
Je ne suis pas,
une formule magique,
à la Lewis Carroll.
Pour les âmes,
trop petites,
en mal d’habitude.
Qui crèvent,
de subir coups,
et blessures.
Pour vivre un trauma,
d’amour cérébral.
A « sexual healing »,
no just a girl,
from Neptune.
Nella
Les étoiles qu’il y a au fond de tes yeux,
ont besoin d’eau pour apprendre à pousser.
Ne les arrache pas à la racine,
elles ne sont encore que de jeunes pousses.
Mais ce sont les plus aimantes fleurs de mon jardin,
elles parviendront un jour à faire parler,
ce timide silence monochrome.
L’aube cogne sur tes joues,
nous n’avons plus le temps.
C’est sur nos lèvres,
qu’il nous faut vivre.
Nella
« Si vous êtes creux et soufflé de vent comme une balle, la terre vous rejettera. Soyez de fer comme l’outil patient. Le feu brûle, et c’est tout. Il ne s’inquiète pas de savoir si quelqu’un met un pot dessus, et de l’eau dans le pot et du riz pour cuire son repas. Le feu brûle et fait son devoir – Dharma. »
Vinobâ Bhâve
Ecrire le mot amour,
le raturer cent cinquante fois.
Puis non décider de ne pas le retenir,
détacher cette animalité étrange,
cet apaisement sur la peau.
Peu importe si la chair gondole,
peu importe les auréoles,
des nuits de mars.
Les entailles au ciseau,
plissées dans le coeur.
L’éphémère adoré,
sur ces lèvres Verlaine,
au bord de l’incendie.
Ce passager du dernier train.
Il doit vivre en liberté,
dorer, pâlir puis mourir.
Entre les longs baisers,
au fond de cette chaise longue.
Brunir d’incertitude.
Nella
Je veux lire jusqu’à l’overdose,
que les mots au fond de ma gorge,
témoignent de ce passage,
vers cet inévitable au-delà.
Ecrire jusqu’à l’aphasie,
peindre jusqu’au possible oubli
et repli de moi-même.
Tant que la vie n’a pas encore,
raccroché à l’autre bout du fil.
Le reste n’a plus d’importance.
Aimer non !
C’est devenu un plaisir démodé.
Nella
Mais où êtes vous Manu ? Surtout comment allez vous ? Des mois que nous n’avons plus de vos nouvelles, et que je laisse parfois des p’tits mots sur votre ‘direct » puisque FB est piraté . J’espère que c’est tout simplement votre nouvel album qui vous aspire complétement. Pour rappel , il y a eu deux ans hier soir vous étiez à la Maroquinerie. En attendant de vous lire et de vous écouter….
Ecran noir
Ma lucidité ce soir devient,
égale à 360 degrés.
Octaèdre aux arêtes saillantes,
s’y reflète la barbe du Saint Esprit.
Un panneau toutes directions,
avertit le peuple que ce soir je déserte,
l’amour et le verbe charnel.
Et toutes ces belles promesses empaillées,
je fais trois le tour de mon propre corps.
Un vieux manoir un peu de poussière,
pour sauver les apparences.
Pour écrire des gribouillis,
de pas dans l’escalier.
Nourrir de quelques bûches,
d’un vieux feu asthmatique.
La cantatrice qui ne sait plus,
croire en ses gammes.
Il faut bien tenter de faire capituler,
ce coeur qui ne veut plus suer,
de battre sous aucun prétexte.
Il faut bien encore et toujours,
se taire que l’encre ose gueuler,
tout ce que j’ai de laid à pleurer.
Maudire l’envie avant,
qu’elle ne me rattrappe,
et ne m’attache à elle,
encore une fois.
Nella
Bousculer mes nerfs,
écrire pour ne rien perdre,
des érosions des marques,
sur ma peau qui vieillit.
Et s’enfuit comme elle est apparue,
avec la saveur des aromates qui se tait.
Sur ces lèvres imprégnées,
de cette douleur sauvage.
La caricature de ce mal de vivre,
en trompe- l’oeil de mon coeur désossé.
De ces flocons d’hier et d’aujourd’hui,
déshumaninés morts dans une autre galaxie.
Tant je suis fatiguée et lasse,
de ces âmes de miel qui ne sont,
qu’une demie-réalité d’un cosmos,
de souffre et de sang.
Prendre le temps de les aimer,
ne serait-ce qu’un peu.
C’est comme sucer des cailloux,
pour à la fin être,
comme morte de soif.
Nella
parfois je vis et je brûle,
comme une torche humaine.
Dont la peau s’essouffle,
je navigue entre rédemption,
et folie sur une mer fatiguée.
Ma bouche se veut visionnaire.
Mes confidences à la terre,
blanchissent et célèbrent,
les regards telles des prophéties.
Sur ma langue s’agitent ces couleurs,
ces petits poissons morts.
Comme sur le papier où le pinceau,
s’imbibe de ces génuflexions.
Que moi femme je tente,
de résoudre en écrivant au couteau,
de mon propre sang depuis mille ans.
Nella
Un petit monde de papier,
fébrile retient toute mon attention.
Il s’acclimate mais veut toujours plus.
Pour étreindre la toile qui n’est autre,
que mon coeur qui tourne à l’envers.
Tourne ma tête et le reste de mes pensées,
vers ce jardin extraordinaire,
ce paradis aux diamants mandarins.
Une ou deux bobines de nuages,
tricotent mille petites possibilités,
parmi les larmes sauvages.
Je suis cette poupée qui ne sait pas,
lacer ses idées folles non !
Moi je préfère mijoter à feu doux,
de toutes mes imperfections.
Jusqu’à ce qu’un beau jour,
une sublime utopie me cambriole.
Nella
La poésie s’improvise,
elle ne s’achète pas.
C’est cette pluie d’été,
qui ruisselle en bouton,
sous la paume des mains.
Sous la plante des pieds,
il me pousse des coquelicots.
Ma vie n’est plus engourdie,
elle me délasse à la racine.
Le lilas déséquilibre la minute,
en confiant mes je t’aime,
aux étoiles impatientes,
de somnoler sous ma plume.
Pour allumer cette orange sanguine.
Elle est ma maison de campagne,
à la paille tiède aux larmes d’or,
qui répondent sur le verre,
reposé de mes pensées.
Lorsque j’ouvre les fenêtres,
que je serre la vie dans mes bras.
Nella
« Chu pas une moumoune et toi non plus,
alors attache ta tuche avec d’la broche!
Let’s go sister! »
😉
La reine de carreau
Cette nuit j’ai entendu un bruit
Elle était de nouveau là
Légère et sauvage
J’aurais pu la toucher
Il faudrait l’aimer
D’une goutte d’eau faire un océan
Et je sens mon coeur se pendre
Quand mes yeux s’effondrent
Vers les courants d’air
Je veux bien à elle
Une autre fois
Dans ce voyage
Ce sera elle ou rien
La beauté du reste
Je m’en fous
De la mélancolie émerge ma créativité
Des mélodies, les réponses à mes questions
Parfois bête quand je m’entête
Subtil sans futilité
Dans mes flottements s’invite parfois l’éclair de génie
À mon intuition je me fie
Au corps je m’accorde
Résister aux armadas des émotions
Savourer la satisfaction après une frustration
Avec passion et sans façon
Ma vie et ses variations
Elle, je ne la voie pas en couleur
Mes couleurs je les porte à l’intérieur.